une maman qui est passée de parent réactif à parent conscient.

Carl est décrit comme étant opposant, il n’écoute jamais les consignes. Il fait rapidement des crises à la maison lorsqu’il vit une frustration. On dirait qu’il veut tout gérer et les sanctions ne semblent jamais faire effet très longtemps. Ces comportements lui causent du trouble également à l’école et avec les amis. Les parents reçoivent des mots de l’enseignante chaque semaine. L’école pense qu’il devrait se faire évaluer en neuropsychologie, peut-être que la médication serait la solution? 

Martine veut bien faire, elle a essayé tous les trucs donnés, mais rien ne colle. Elle est épuisée, stressée. Elle se sent coupable, impuissante et a parfois l’impression de ne pas être à la hauteur. Elle veut sortir de cet enfer, mais en même temps, elle a peur d’étiqueter son enfant.

C’est principalement l’état dans lequel les parents me contactent pour obtenir de l’aide avec leur enfant ayant des difficultés de comportement, de gestion des émotions ou même d’inattention et d’impulsivité. Certains enfants ont même déjà plusieurs diagnostics psychologiques quand les parents me consultent. Ils sont en mode « Parent Réactifs », comme Martine, la maman de Carl, jusqu’au jour où tout a changé lorsqu’elle a pris la décision de devenir un « Parent Conscient ».

Avec Le Programme Croître, Martine…

• a appris comment intervenir concrètement auprès de son fils au quotidien pour consolider sa relation mère-enfant et pour aider Carl à devenir plus résilient, mature et posé. 
• comprend maintenant la raison de ses propres réactions et surtout celles de son enfant. Elle sait aussi pourquoi une technique fonctionne ou non. 
• peut désormais départager les réactions « normales » pour l’âge de son enfant de celles qui découlent d’un blocage affectif. 
• peut se connecter aux besoins de son enfant tout en prenant conscience de ses propres besoins. 

Martine est passée de l’impuissance à la puissance parentale

Au fil des semaines, elle est passée d’une maman en impuissance parentale à une maman  en pleine maîtrise de son pouvoir parental, et elle a observé  concrètement les changements dans les comportements et l’attitude de son fils. L’intensité et la fréquence des crises ont diminué  À sa grande surprise, Carl a commencé à accomplir de façon autonome des tâches qu’il refusait jusque-là de faire, même avec une promesse de récompense.

Même l’école remarque les changements en classe et dans la cour de récréation!

Martine est maintenant plus souvent en mode « Parent Conscient » et elle constate de grands impacts positifs dans la vie de sa famille.

Depuis les dernières années, il y a un mouvement vers la parentalité bienveillante, aussi appelée parentalité positive. Grâce aux neurosciences affectives, on connaît de plus en plus l’impact de nos interventions sur le développement du cerveau de l’enfant. On est maintenant en mesure de distinguer les interventions efficaces de celles qui risquent de bloquer le développement émotionnel de l’enfant.

La parentalité positive est parfois, à tort,  considérée ou pratiquée comme une parentalité où l’enfant est roi. C’est pourquoi il est important de bien comprendre les fondements derrière cette pratique pour bien l’appliquer. Et oui, l’enfant a encore besoin de limites!

Avant de sortir de mon ordre professionnel en 2022, j'ai pratiqué plus de 12 ans comme neuropsychologue en pratique privée et en milieu scolaire. J’ai toutefois décidé d’approfondir et de varier mes connaissances. La révélation d’une nouvelle approche holistique s’est imposée à moi suite à différents événements qui m’ont fait réaliser que je devais faire plus que donner des diagnostics psychologiques et recommander des trucs comportementaux et/ou d’aller voir son médecin pour de la médication!

Mon éveil m’a permis de bâtir un tout nouveau modèle intégratif d’accompagnement basé sur des théories et connaissances déjà reconnues et éprouvées.

Mes modèles de travail les « 3 cerveaux » et l’« arbre de vie » s’inspirent de...

• neurosciences affectives
• neuropsychologie
• neurologie fonctionnelle
• neuro-nutrition
• pleine conscience
• communication non violente
• les approches développementales

• attachement
• psychodynamiques
• cognitive-comportementale
• neuropsychobiologie interpersonnelle
• la spiritualité
• thérapie par le jeu
• concepts d’acceptation et d’engagement.

Nous pouvons ensuite mieux cibler et prioriser les niveaux d'intervention à mettre en place.

J’ai moi-même eu la chance d’expérimenter et pratiquer la parentalité consciente dès le plus jeune âge de mes enfants. Mon fils est maintenant âgé de 9 ans. Peu de temps après sa naissance, il a été étiqueté de BABI (bébé aux besoins intenses). Il avait des crises violentes et répétitives durant une bonne partie de son enfance et certains tics. Ses comportements pouvaient faire croire qu’il s’enlignait vers les diagnostics de TDA/H et de Syndrome de Gilles de la Tourette. 

Disons que je vis aussi mes défis de parent à la maison 

Mon conjoint et moi étions convaincus de l’utilisation des approches conscientes et bienveillantes, même si nos familles nous passaient souvent des commentaires pour nous inciter à être « plus sévères ». 

Sachant que la maturité émotionnelle vient plus naturellement entre l’âge de 5 et 7 ans et peut-être plus tard chez les plus sensibles (si l’enfant ne vit pas de blocage) nous avons persévéré dans notre approche de parentalité consciente. 

Aujourd’hui mon fils n’a plus de symptôme pouvant correspondre à des diagnostics psychologiques et bien qu’il reste sensible et puisse faire encore des crises (ce qui est normal pour les enfants), il contrôle maintenant ses gestes moteurs, il arrive à nommer ses émotions et surtout…à les ressentir de plus en plus… Ce qui est essentiel pour la maturation émotionnelle.

J’ai maintenant le goût de partager la posture parentale, les approches et les connaissances qui ont aidé ma famille  ainsi que plusieurs de mes clients.

• Vous cherchez une solution magique et facile pour régler vos problèmes et ceux de votre enfant.
  
  • Tout comme n’importe quel service professionnel, je ne peux pas garantir de résultats, mais je vous offrirai tout mon savoir pour arriver à vos fins.

• Vous n’êtes pas prêt à vous impliquer dans le processus et à changer vos interventions.
  

  • Pour de meilleures chances de résultats, l’implication des parents dans les rencontres et dans l’application des interventions et conseils au quotidien est centrale.

  • Il faut être prêts à questionner vos méthodes actuelles et modifier vos croyances.

• Vous pensez que les difficultés de votre enfant sont seulement génétiques et qu’il n’y a rien à faire pour changer la situation.
  

  • Notre approche se base davantage sur l’épigénétique qui postule que l’on peut avoir un impact sur l’expression des gènes en modifiant et optimisant l’environnement de l’enfant.

• Vous cherchez à obtenir un diagnostic psychologique pour votre enfant.
  

  • Comme je ne rencontrerai pas votre enfant, il ne sera pas possible pour moi de me prononcer sur la dynamique et le profil précis de votre enfant. Cet accompagnement n’est pas considéré comme une psychothérapie individuelle ou de groupe, ni comme une évaluation neuropsychologique.

Ce programme est considéré comme du coaching parental de groupe. Ce n’est pas de la psychothérapie.        

En tant que professionnelle, il va de soi que la notion de confidentialité est primordiale.

• Toutes les informations personnelles partagées à l’intérieur des rencontres de guidance parentale ou à l’extérieur seront gardées confidentielles par l'intervenante. 
• Les membres du groupe devront garder les informations partagées durant les rencontres ou dans le groupe privé confidentielles.

L'intervenant est tenu au secret professionnel, MAIS :

• doit communiquer un renseignement en vue de prévenir un acte de violence, dont un suicide, ou en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse;
• doit divulguer un renseignement si la Cour le lui ordonne;